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1. |
Cupidon s'en fout
03:28
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Pour changer en amour notre amourette,
Il s'en serait pas fallu de beaucoup,
Mais, ce jour là, Vénus était distraite,
Il est des jours où Cupidon s'en fout.
Il est des jours où Cupidon s'en fout.
Des jours où il joue les mouches du coche,
Où, elles sont émoussées dans le bout,
Les flèches courtoises qu'il nous décoche,
Il est des jours où Cupidon s'en fout. (bis)
Se consacrant à d'autres imbéciles,
Il n'eut pas l'heure de s'occuper de nous,
Avec son arc et tous ses ustensiles,
Il est des jours où Cupidon s'en fout. (bis)
On a tenté sans lui d'ouvrir la fête,
Sur l'herbe tendre, on s'est roulé, mais vous
Avez perdu la vertu, pas la tête,
Il est des jours où Cupidon s'en fout. (bis)
Si vous m'avez donné toute licence,
Le cœur, hélas, n'était pas dans le coup,
Le feu sacré brillait par son absence,
Il est des jours où Cupidon s'en fout. (bis)
On effeuilla vingt fois la marguerite,
Elle tomba vingt fois sur " pas du tout ",
Et notre pauvre idylle a fait faillite,
Il est des jours où Cupidon s'en fout. (bis)
Quand vous irez au bois conter fleurette,
Jeunes galants, le ciel soit avec vous,
Je n'eus pas cette chance et le regrette,
Il est des jours où Cupidon s'en fout. (bis)
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2. |
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A l'ombre du cœur de ma mie, A l'ombre du cœur de ma mie,
Un oiseau s'était endormi, Un oiseau s'était endormi
Un jour qu'elle faisait semblant, D'être la Belle au bois dormant
Et moi, me mettant à genoux, Et moi, me mettant à genoux,
Bonnes fées, sauvegardez-nous, Bonnes fées, sauvegardez-nous,
Sur ce cœur j'ai voulu poser, Une manière de baiser
Alors cet oiseau de malheur, Alors cet oiseau de malheur,
Se mit à crier « Au voleur », Se mit à crier « Au voleur »,
« Au voleur » et « A l'assassin », Comme si j'en voulais à son sein
Aux appels de cet étourneau, Aux appels de cet étourneau,
Grand branle-bas dans Landerneau, Grand branle-bas dans Landerneau,
Tout le monde et son père accourt, Aussitôt lui porter secours
Tant de rumeurs, de grondements, Tant de rumeurs, de grondements,
Ont fait peur aux enchantements, Ont fait peur aux enchantements,
Et la belle désabusée, Ferma son cœur à mon baiser
Et c'est depuis ce temps, ma sœur, Et c'est depuis ce temps, ma sœur,
Que je suis devenu chasseur, Que je suis devenu chasseur
Que mon arbalète à la main, Je cours les bois et les chemins
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3. |
Le Parapluie
03:00
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Il pleuvait fort sur la grand-route, Elle cheminait sans parapluie
J'en avais un, volé, sans doute, Le matin même à un ami
Courant alors à sa rescousse, Je lui propose un peu d'abri
En séchant l'eau de sa frimousse, D'un air très doux, elle m'a dit « oui »
Un p'tit coin d'parapluie, Contre un coin d'paradis
Elle avait quelque chose d'un ange
Un p'tit coin d'paradis, Contre un coin d'parapluie
Je n'perdais pas au change, pardi
Chemin faisant, que ce fut tendre, D'ouïr à deux le chant joli
Que l'eau du ciel faisait entendre, Sur le toit de mon parapluie
J'aurais voulu, comme au déluge, Voir sans arrêt tomber la pluie
Pour la garder, sous mon refuge, Quarante jours, quarante nuits
Un p'tit coin d'parapluie, Contre un coin d'paradis, Elle avait quelque chose d'un ange
Un p'tit coin d'paradis, Contre un coin d'parapluie, Je n'perdais pas au change, pardi
Mais bêtement, même en orage, Les routes vont vers des pays
Bientôt le sien fit un barrage, A l'horizon de ma folie
Il a fallu qu'elle me quitte, Après m'avoir dit grand merci
Et je l'ai vue toute petite, Partir gaiement vers mon oubli
Un p'tit coin d'parapluie, Contre un coin d'paradis, Elle avait quelque chose d'un ange
Un p'tit coin d'paradis, Contre un coin d'parapluie, Je n'perdais pas au change, pardi
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4. |
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Jadis la mineure perdait son honneur au moindre faux pas
Sol7 Do Si7 Mi
Ces mœurs n'ont plus cours, de nos jours, c'est la gourde qui ne le fait pas
La Rém Sol7 Do Fa#m7
Toute ton école petite rigole, qu'encore à quinze ans
Rém Lam Mi Lam
Tu sois vierge et sage, fidèle à l'usage caduc à présent
Lam Mi La Rém
Malgré les exemples de gosses plus amples informées que toi
Sol7 Do Si7 Mi
Et qu'on dépucelle avec leur crécelle au bout de leurs doigts
La Rém Sol7 Do Fa#m7
Chacun te brocarde de ce que tu gardes ta fleur d'oranger
Rém Lam Mi Lam
Pour la bonne cause et chacune glose sur tes préjugés
Lam Mi La Rém
Et tu sers de cible, mais reste insensible aux propos moqueurs
Sol7 Do Si7 Mi
Aux traits à la gomme, comporte toi comme te le dit ton cœur
La Rém Sol7 Do Fa#m7
Quoi que l'on raconte, y'a pas plus de honte à se refuser
Rém Lam Mi Lam
Ni plus de mérite, d'ailleurs ma petite, qu'à se faire baiser
Lam Mi La Rém
Certes, s'il te presse la soif de caresses, cours, saute avec les
Sol7 Do Si7 Mi
Vénus de Panurge, va mais si rien n'urge, faut pas t'emballer
La Rém Sol7 Do Fa#m7
Mais, si tu succombes, sache surtout qu'on peut être passée par
Rém Lam Mi Lam
Onze mille verges et demeurer vierge, paradoxe à part
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5. |
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Avec sa hotte sur le dos, Avec sa hotte sur le dos,
Il s'en venait d'Eldorado, Il s'en venait d'Eldorado,
Il avait une barbe blanche, Il avait nom « Papa Gâteau »,
Il a mis du pain sur ta planche, Il a mis les mains sur tes hanches.
Il t'a prom'née dans un landau, Il t'a prom'née dans un landau,
En route pour la vie d'château, En route pour la vie d'château,
La belle vie dorée sur tranche, Il te l'offrit sur un plateau.
Il a mis du grain dans ta grange, Il a mis les mains sur tes hanches.
Toi qui n'avais rien sur le dos, Toi qui n'avais rien sur le dos,
Il t'a couverte de manteaux, Il t'a couverte de manteaux,
Il t'a vêtue comme un dimanche, Tu n'auras pas froid de sitôt.
Il a mis l'hermine à ta manche, Il a mis les mains sur tes hanches.
Tous les camées, tous les émaux, Tous les camées, tous les émaux,
Il les fit pendre à tes rameaux, Il les fit pendre à tes rameaux,
Il fit rouler en avalanches, Perle et rubis dans tes sabots.
Il a mis de l'or à ta branche, Il a mis les mains sur tes hanches.
Tire la belle, tire le rideau, Tire la belle, tire le rideau,
Sur tes misères de tantôt, Sur tes misères de tantôt,
Et qu'au-dehors il pleuve, il vente, Le mauvais temps n'est plus ton lot,
Le joli temps des coudées franches... On a mis les mains sur tes hanches.
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6. |
La religieuse
04:52
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Tous les cœurs se rallient à sa blanche cornette, Si le chrétien succombe à son charme insidieux,
Le paîen le plus sûr, l'athée le plus honnête, Se laisseraient aller parfois à croire en Dieu.
Et les enfants de chœur font tinter leur sonnette...
Il paraît que, dessous sa cornette fatale, Qu'elle arbore à la messe avec tant de rigueur,
Cette petite sœur cache, c'est un scandale ! Une queue de cheval et des accroche-cœurs.
Et les enfants de chœur s'agitent dans les stalles...
Il paraît que, dessous son gros habit de bure, Elle porte coquettement des bas de soie,
Festons, frivolités, fanfreluches, guipures, Enfin tout ce qu'il faut pour que le diable y soit.
Et les enfants de chœur ont des pensées impures...
Il paraît que le soir, en voici bien d'une autre ! A l'heure où ses consœurs sont sagement couchées
Ou débitent pieusement des patenôtres, Elle se déshabille devant sa psyché.
Et les enfants de chœur ont la fièvre, les pauvres...
Il paraît qu'à loisir elle se mire nue, De face, de profil, et même, hélas ! de dos,
Après avoir, sans gêne, accroché sa tenue, Aux branches de la croix comme au portemanteau.
Chez les enfants de chœur le malin s'insinue...
Il paraît que, levant au ciel un oeil complice, Elle dit : « Bravo, Seigneur, c'est du joli travail ! »
Puis qu'elle ajoute avec encor plus de malice : « La cambrure des reins, ça, c'est une trouvaille ! »
Et les enfants de chœur souffrent un vrai supplice...
Il paraît qu'à minuit, bonne mère, c'est pire : On entend se mêler, dans d'étranges accords,
La voix énamourée des anges qui soupirent, Et celle de la sœur criant « Encor ! Encor ! »
Et les enfants de chœur, les malheureux, transpirent...
Et monsieur le curé, que ces bruits turlupinent, Se dit avec raison que le brave Jésus
Avec sa tête, hélas ! Déjà chargée d'épines, N'a certes pas besoin d'autre chose dessus.
Et les enfants de chœur, branlant du chef, opinent...
Tout ça, c'est des faux bruits, des ragots, des sornettes, De basses calomnies par Satan répandues.
Pas plus d'accroche-cœurs sous la blanche cornette, Que de queue de cheval, mais un crâne tondu.
Et les enfants de chœur en font, une binette...
Pas de troubles penchants dans ce cœur rigoriste, Sous cet austère habit pas de rubans suspects.
On ne verra jamais la corne au front du Christ, Le veinard sur sa croix peut s'endormir en paix,
Et les enfants de chœur se masturber, tout tristes...
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7. |
Les croquants
02:51
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Les croquants vont en ville, à cheval sur leurs sous, Acheter des pucelles aux saintes bonnes gens
Les croquants leur mettent à prix d'argent, La main dessus, la main dessous
Mais la chair de Lisa, la chair fraîche de Lison, Que les culs cousus d'or se fassent une raison
C'est pour la bouche du premier venu, Qui a les yeux tendres et les mains nues
Les croquants, ça les attriste, Ça les étonne, les étonne
Qu'une fille, une fille belle comme ça, S'abandonne, s'abandonne
Au premier ostrogoth venu, Les croquants, ça tombe des nues
Les filles de bonnes mœurs, les filles de bonne vie, Qui ont vendue leur fleurette à la foire à l'encan
Vont s'vautrer dans la couche des croquants, Quand les croquants en ont envie
Mais la chair de Lisa, la chair fraîche de Lison, Que les culs cousus d'or se fassent une raison
N'a jamais accordé ses faveurs, A contre sous, à contre cœur
Les croquants, ça les attriste, Ça les étonne, les étonne
Qu'une fille, une fille belle comme ça, S'abandonne, s'abandonne
Au premier ostrogoth venu, Les croquants, ça tombe des nues
Les filles de bonne vie ont le cœur consistant, Et la fleur qu'on y trouve est garantie longtemps
Comme les fleurs en papier des chapeaux, Les fleurs en pierre des tombeaux
Mais le cœur de Lisa, le grand cœur de Lison, Aime faire peau neuve avec chaque saison
Jamais deux fois la même couleur, Jamais deux fois la même fleur
Les croquants, ça les attriste, Ça les étonne, les étonne
Qu'une fille, une fille belle comme ça, S'abandonne, s'abandonne
Au premier ostrogoth venu, Les croquants, ça tombe des nues
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8. |
Le verger du roi Louis
02:10
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Sur ses larges bras étendus, La forêt où s'éveille Flore,
A des chapelets de pendus, Que le matin caresse et dore.
Ce bois sombre, où le chêne arbore, Des grappes de fruits inouîs
Même chez le Turc et le More, C'est le verger du roi Louis.
Tous ces pauvres gens morfondus, Roulant des pensées qu'on ignore,
Dans des tourbillons éperdus, Voltigent, palpitants encore.
Le soleil levant les dévore. Regardez-les, cieux éblouis,
Danser dans les feux de l'aurore. C'est le verger du roi Louis.
Ces pendus, du diable entendus, Appellent des pendus encore.
Tandis qu'aux cieux, d'azur tendus, Où semble luire un météore,
La rosée en l'air s'évapore, Un essaim d'oiseaux réjouis
Par-dessus leur tête picore. C'est le verger du roi Louis.
Prince, il est un bois que décore, Un tas de pendus enfouis
Dans le doux feuillage sonore. C'est le verger du roi Louis !
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9. |
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Rien n'est jamais acquis à l'homme. Ni sa force, Ni sa faiblesse ni son cœur. Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix. Et quand il croit serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce. Il n'y a pas d'amour heureux
Sa vie elle ressemble à ces soldats sans armes, Qu'on avait habillés pour un autre destin
A quoi peut leur servir de se lever matin. Eux qu'on retrouve au soir désarmés incertains
Dites ces mots ma vie et retenez vos larmes : Il n'y a pas d'amour heureux
Mon bel amour mon cher amour ma déchirure, Je te porte dans moi comme un oiseau blessé
Et ceux-là sans savoir nous regardent passer. Répétant après moi les mots que j'ai tressés
Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent. Il n'y a pas d'amour heureux
Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard, Que pleurent dans la nuit nos cœurs à l'unisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson. Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare. Il n'y a pas d'amour heureux
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10. |
P... de toi
02:41
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En ce temps-là, je vivais dans la lune, Les bonheurs d'ici-bas m'étaient tous défendus
Je semais des violettes et chantais pour des prunes, Et tendais la patte aux chats perdus.
Refrain :
Ah ah ah ah putain de toi, Ah ah ah ah ah pauvre de moi...
Un soir de pluie v'là qu'on gratte à ma porte, Je m'empresse d'ouvrir, sans doute un nouveau chat !
Nom de dieu l'beau félin que l'orage m'apporte, C'était toi, c'était toi, c'était toi.
Refrain
Les yeux fendus et couleur de pistache, T'as posé sur mon cœur ta patte de velours
Fort heureusement pour moi t'avais pas de moustache, Et ta vertu ne pesait pas trop lourd.
Refrain
Aux quatre coins de ma vie de bohème, T'as prom'né, t'as prom'né le feu de tes vingt ans.
Et pour moi, pour mes chats, pour mes fleurs, mes poèmes, C'était toi la pluie et le beau temps...
Refrain
Mais le temps passe et fauche à l'aveuglette. Notre amour mûrissait à peine que déjà,
Tu brûlais mes chansons, crachais sur mes viollettes, Et faisais des misères à mes chats.
Refrain
Le comble enfin, misérable salope, Comme il n'restait plus rien dans le garde-manger,
T'as couru sans vergogne, et pour une escalope, Te jeter dans le lit du boucher.
Refrain
C'était fini, t'avais passé les bornes. Et, r'nonçant aux amours frivoles d'ici-bas,
J'suis r'monté dans la lune en emportant mes cornes, Mes chansons, et mes fleurs, et mes chats.
Refrain
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11. |
Mourir pour des idées
05:11
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Mourir pour des idées, l'idée est excellente, Moi j'ai failli mourir de ne l'avoir pas eue
Car tous ceux qui l'avaient, multitude accablante, En hurlant à la mort me sont tombés dessus
Ils ont su me convaincre et ma muse insolente, Abjurant ses erreurs, se rallie à leur foi
Avec un soupçon de réserve toutefois, Mourrons pour des idées, d'accord, mais de mort lente,
D'accord, mais de mort lente
Jugeant qu'il n'y a pas péril en la demeure, Allons vers l'autre monde en flânant en chemin
Car, à forcer l'allure, il arrive qu'on meure, Pour des idées n'ayant plus cours le lendemain
Or, s'il est une chose amère, désolante, En rendant l'âme à Dieu c'est bien de constater
Qu'on a fait fausse route, qu'on s'est trompé d'idée, Mourrons pour des idées, d'accord, mais de mort lente
D'accord, mais de mort lente
Les saints Jean Bouche d'or qui prêchent le martyre, Le plus souvent, d'ailleurs, s'attardent ici-bas
Mourir pour des idées, c'est le cas de le dire, C'est leur raison de vivre, ils ne s'en privent pas
Dans presque tous les camps on en voit qui supplantent, Bientôt Mathusalem dans la longévité
J'en conclus qu'ils doivent se dire, en aparté, « Mourrons pour des idées, d'accord, mais de mort lente
D'accord, mais de mort lente »
Des idées réclamant le fameux sacrifice, Les sectes de tout poil en offrent des séquelles
Et la question se pose aux victimes novices, Mourir pour des idées, c'est bien beau mais lesquelles ?
Et comme toutes sont entre elles ressemblantes, Quand il les voit venir, avec leur gros drapeau
Le sage, en hésitant, tourne autour du tombeau, Mourrons pour des idées, d'accord, mais de mort lente
D'accord, mais de mort lente
Encor s'il suffisait de quelques hécatombes, Pour qu'enfin tout changeât, qu'enfin tout s'arrangeât !
Depuis tant de « grands soirs » que tant de têtes tombent, Au paradis sur terre on y serait déjà
Mais l'âge d'or sans cesse est remis aux calendes, Les dieux ont toujours soif, n'en ont jamais assez
Et c'est la mort, la mort toujours recommencée, Mourrons pour des idées, d'accord, mais de mort lente
D'accord, mais de mort lente
O vous, les boutefeux, ô vous les bons apôtres, Mourez donc les premiers, nous vous cédons le pas
Mais de grâce, morbleu ! laissez vivre les autres ! La vie est à peu près leur seul luxe ici-bas
Car, enfin, la Camarde est assez vigilante, Elle n'a pas besoin qu'on lui tienne la faux
Plus de danse macabre autour des échafauds ! Mourrons pour des idées, d'accord, mais de mort lente
D'accord, mais de mort lente
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contrebrassens Occitanie, France
Pauline Dupuy est une contrebas-
siste chanteuse française. Après un bac théâtre option musique, elle obtient
un
diplôme d’études musicales de contrebasse au Conservatoire et une licence de musicologie à l’Université de Saint-Étienne. Elle intervient en tant que musicienne ou
interprète au théâtre, dans des projets de chanson française et de pop/folk/rock.
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